Affichage des articles dont le libellé est A Méditer. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est A Méditer. Afficher tous les articles

mercredi 29 octobre 2025

Chaque Jour N'oublie Pas De ...

 


samedi 25 octobre 2025

Le Temps

 



Le temps va te voler des amis, 

Des amis proches qui vont t’oublier,

 Qui ne vont même plus te regarder dans les yeux, 

Qui vont faire comme s’ils ne te connaissaient pas, 

Qui vont peut-être tellement changer 

Que tu auras l’impression de ne plus les connaître.


Le temps va te voler des souvenirs, des souvenirs d’amours,

 D’amitiés, des souvenirs inoubliables mais qui petit à petit,

S’échapperont de ta mémoire et deviendront 

De plus en plus flous, jusqu’à ne plus du tout exister.


Le temps va te voler des centaines de moments,

 Des moments de joie, de pleure, d’amour, de rencontre 

Que tu voudras mettre sur pause mais qui défileront

 Tellement vite que tu n’auras même

 Pas une seconde pour en profiter.


Le temps va te prendre ton enfance, ton adolescence,

 ta vieillesse tes rêves, tes illusions, tes projets.

Il va te presser, il va te faire faire des

 mauvais choix même si tu en as pas envie.


Il va te prendre des personnes à qui tu tiens et qu’il ne te rendra

 Sans doute jamais, même si tu les pensais proches de toi, 

Même si tu pensais que « pour toujours » existait.

 Le temps va te faire comprendre que rien n’est éternel,

 Tout a une fin et que beaucoup de personnes

 Que tu aimes aujourd’hui s’en iront un jour.


Le temps va te faire changer, il va tout faire

 Pour que tu te perdes, que tu ne retrouves

 Plus ton chemin au point de ne plus savoir

 Exactement qui tu es, et qui tu seras.


Il va aussi te faire grandir, il va peut-être faire de toi

 Quelqu’un de différent, quelqu’un que tu n’as jamais été.

 Le temps va bouleverser ta façon 

De penser, d’aimer, de rire, de sourire.


Le temps va te laisser des cicatrices qui ne partiront jamais,

 ou qui s’effaceront difficilement, il va te faire pleurer,

 il va te faire verser des larmes de rage, de joie, et il

Laissera un paquet d’amertumes, de souvenirs et de déceptions.


Mais, le temps te fera aussi mûrir et il t’apprendra à

 Profiter du moment présent pour que tu n’aies jamais de regrets.

Il te fera profiter de chaque instant passé en

La compagnie des personnes que tu aimes plus que tout.

Ton temps est précieux…aussi précieux qu'un

Diamant, donc fait en sorte d’en prendre soin.


Auteur inconnu Source Internet 



vendredi 24 octobre 2025

Parce qu’à force de vouloir calmer les villes, ils les anesthésient

 



À l’attention des politiques, des élus, des « experts », des décideurs et autres acharnés « créateurs de villes apaisées » de Belgique… et d’Europe,

Ah, les voilà, les apôtres du bitume vert ! Les prédicateurs du « monde d’après », ceux qui rêvent de villes sans bruit, sans voitures, sans vie, presque sans gens — juste des vélos en liberté et des trottinettes en goguette. Les bons docteurs de l’air pur, qui veulent nous fabriquer des cités « apaisées » à coup de pots de fleurs géants et de bancs en bois recyclé.

L’intention est louable, qu’ils disent, la respiration collective, la planète, la qualité de vie… Oui, oui, tout ça c’est joli sur les affiches de campagne, avec des oiseaux numériques et des mamans blondes en trottinette électrique.

Mais dans la vraie vie, celle où on court entre deux gosses, un boulot et une machine à laver en rade, leur monde apaisé, c’est un enfer organisé.

Parce qu’à force de vouloir calmer les villes, ils les anesthésient.

Et surtout, ces génies de la concertation participative, ils ont trouvé la botte secrète : supprimer les places de parking. Partout. Comme s’ils voulaient punir les automobilistes d’exister, les commerçants de respirer, et les gens pressés de vivre.

Les parkings disparaissent comme des billets de cinq euros un soir de fête. Et pendant ce temps, les commerçants crèvent à petit feu derrière leurs vitrines. Les vrais, hein, pas les enseignes en néon de la zone industrielle !

Eux, les artisans du coin, les marchands de journaux, les boulangers, les cordonniers. Ceux qui font encore partie du décor, de l’odeur du quartier.

Mais voilà, quand on ne peut plus se garer, on ne s’arrête plus.

Et quand on ne s’arrête plus, les caisses sonnent creux.

Et quand les caisses sonnent creux, les rideaux tombent.

Simple comme une addition de fin de mois.

Et pendant que le petit commerce agonise, les géants d’Internet se frottent les algorithmes : livraison gratuite, stationnement illimité dans ton canapé.

C’est beau, le progrès.

À ce rythme, dans deux ans, on commandera le pain et les fleurs sur une appli, livrés par un drone qui aura, lui, le droit de se poser là où toi, pauvre humain, tu ne peux plus garer ta Clio.

Mais ce que nos architectes de la vertu ne pigent pas, c’est la nuance entre faire du shopping et faire ses courses.

Faire du shopping, c’est flâner le samedi, main dans la main, avec le portefeuille qui s’ennuie et le temps qui s’étire.

Faire ses courses, c’est tout le contraire : c’est entre le cours de musique du gamin, le rendez-vous chez le dentiste de la petite et le coup de fil du boss qui demande où t’en es du rapport.

C’est du sport, pas du tourisme. Et dans ce genre de marathon, le parking place de la Gare, à 500 mètres du centre, c’est pas un atout : c’est une punition.

Parce que la plupart des courses se font en cinq minutes.

Cinq vraies minutes.

Le pain, un livre pour l’école, deux tranches de jambon, une ordonnance à la pharmacie, un paquet de clopes.

Des gestes du quotidien, minuscules mais vitaux.

Et pour ces gestes-là, on n’a pas une heure à perdre pour traverser la moitié de la ville à pieds ou à chercher une borne magique pour badger sa plaque d’immatriculation.

Vous parlez de « villes apaisées », mais vous fabriquez des villes déprimées.

Des rues où on entend le vent se demander où sont passés les gens.

Des trottoirs sans clients, des commerces sans lumière.

Des quartiers jolis, peut-être, mais vides comme un théâtre après la dernière.

Le vrai apaisement, mes chers urbanistes, il est pas dans la disparition du mouvement, il est dans l’équilibre.

Entre le piéton, le cycliste, le conducteur, le commerçant et la ménagère pressée.

Une ville, c’est un organisme vivant.

Et quand vous lui arrachez les places de parkings, vous lui coupez les veines.

Alors oui, gardez vos pistes cyclables, vos pots de basilic sur les ronds-points, vos bancs design pour les pigeons.

Mais laissez au moins quelques places pour que la vie puisse se garer deux minutes, le temps d’un pain chaud et d’un sourire.

Parce qu’une ville, ça ne se pacifie pas à coups d’interdictions.

Ça se fait respirer par ceux qui la vivent, qui y bossent, qui y galèrent, qui y aiment.

Et ceux-là, croyez-moi, ils ont besoin d’une place, pas pour rêver, juste pour se garer.


Source Internet 




.

lundi 20 octobre 2025

Le véritable bonheur ne dépend de Personne

 



" Le véritable bonheur ne dépend de personne, d’aucune chose, 

d’aucune attente, situation, évènement ou attachement. 

Il découle de l’amour et fait partie de nous

 de façon naturelle et inconsciente. 

On ne devient pas heureux parce qu’on réussit sa vie,

 on réussit sa vie parce qu’on est heureux. "


 Joseph Stutz - (Être bien)



dimanche 19 octobre 2025

On n'arrête pas le Système ...

 





Je veux vivre ma Vie

 




vendredi 17 octobre 2025

Si tu T'Attends à ...

 



lundi 13 octobre 2025

On ne lit pas, ni écrit de la poésie, parce que c'est joli.

 



" On ne lit pas, ni écrit de la poésie, parce que c'est joli. 

On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l'humanité.

 Et l'humanité est faite de passion. 

La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires

 pour assurer la vie, mais la poésie, la beauté,

 la romance, l'amour, c'est pour ça qu'on vit. "


John Keating, Le cercle des poètes disparus


samedi 11 octobre 2025

Profite de chaque instant de ta Vie

 






vendredi 10 octobre 2025

Les Arbres ...

 




Nous ne Pouvons pas Aider Tous les Animaux

 



Ne Rien Promettre




mardi 7 octobre 2025

IL Y A DES SILENCES QUI PARLENT PLUS FORT QUE TOUTES LES GUERRES.

 




 

IL Y A DES SILENCES QUI PARLENT

 PLUS FORT QUE TOUTES LES GUERRES.

Regardez bien cette image. 

Pas besoin de mots, pas besoin d’explication. 

Seulement deux êtres vivants… qui se reconnaissent.

Dans les yeux de ce GORILLE,

Il n’y a ni peur ni domination. 

Il y a TENDRESSE, MÉMOIRE, RESPECT. 

Comme si la Terre elle-même se souvenait

 De quelque chose qu’on a oublié.

Jane Goodall vient de nous quitter. 

Mais son héritage est là, dans ce silence

 Partagé entre les espèces, 

Dans ce regard qui reconnaît l’autre.

On s’est cru supérieurs. 

On a construit des murs entre les espèces, 

Alors qu’au fond, on partage le même souffle

 La même douleur, la même quête de paix.

Et si aimer, c’était simplement ça : 

Oser poser sa tête contre l’autre, 

Sans chercher à comprendre, 

Juste… ressentir.

Regardez bien. 

C’est peut-être l’image la plus humain

e qu’on verra aujourd’hui.


 Jason Lapointe



Pourquoi je donne plus de confiance

Aux animaux, qu'aux humains

Bouleversant

Elle nous a montré comment ouvrir les yeux au vivant.

Jane Goodall vient de s’en aller…

Et cette image porte son souffle, sa mémoire, son amour.

Et vous … Quand avez-vous vu un autre Être vivant

 avec le regard de l’âme ?


lundi 6 octobre 2025

J’ai appris une leçon que beaucoup oublient

 



Un jour l'acteur Denzel Washington a dit quelque

 Chose qui laissa tout le monde sans voix.

J’ai appris une leçon que beaucoup oublient : 

Ce qui a réellement de la valeur… demande du temps.

Aujourd’hui, tout le monde veut arriver vite, mais j’ai découvert

 Que les raccourcis présentent toujours l’addition, et que ce qu’on

 Force à entrer dans notre vie n’est jamais sa vraie place.

J’ai vu beaucoup de gens s’élever très haut

 Puis tomber sans ailes…

 Parce qu’ils n’avaient pas de racines. 

Et j’ai compris que ce qui soutient

 Un être humain, ce n’est pas l’éclat du succès,

 Mais la force du caractère.

 Ce n’est pas le bruit qu’on fait dehors,

 Mais le respect qu’on inspire en silence.

C’est pourquoi je marche lentement. Je ne cours pas.

 Chaque pas que je fais a un sens.

Car lorsque l’on sait qui l’on est, on n’a plus besoin

 De se presser : on avance avec assurance.

Et ce qui est destiné pour toi… vient sans que tu le poursuives.

 Il te trouve dans la paix.


jeudi 2 octobre 2025

On ne s'arrête pas parce qu'on Vieillit

 


lundi 29 septembre 2025

Il y a la vie, ses coups du sort, ses joies, sa brutalité,

 




" Il y a la vie, ses coups du sort, ses joies, sa brutalité, 

Son absurdité et son sens, son injustice et sa beauté,

 Ses délices, ses mystères, ses récompenses,

 Il y a la vie et ce que nous en faisons. "


Charlotte Valandrey


mercredi 24 septembre 2025

Un Peuple Submergé par

 





dimanche 21 septembre 2025

Son Droit de Vivre

 


samedi 20 septembre 2025

Ce Sont Toujours les Lois de la Nature

 




« Nous tuons les ingénieurs. Les ingénieurs, ce sont les insectes, les microbes, les arbres et toutes ces myriades d’espèces qui rendent notre présence ici possible », argumente-t-il.




Chahuté lors d’une conférence à la fête de l’Humanité, le militant écologiste se confie au « Figaro » après avoir été traité de « fasciste », notamment en raison de ses propos sur l’immigration. Il dénonce le sectarisme « ridicule » de certains militants




vendredi 19 septembre 2025

On Nous Apprend à ...