Bienvenue Novembre

 

Bienvenue Novembre

 

Novembre s’installe doucement, avec son

Manteau de brume et ses matins givrés.

Les premières neiges flirtent déjà avec les hauteurs,

 Comme un signe discret que l’hiver approche à pas feutrés.

Dans la maison, le poêle à bois reprend du service,

Il ronronne paisiblement et diffuse cette chaleur

 Bienfaisante qui réconforte le corps et l’âme.

 

On range les citrouilles d’Halloween, les guirlandes orangées,

 Pour laisser place aux premières envies de Noël.

Les décorations dorment encore dans leurs cartons,

 Mais déjà, on imagine les lumières, les odeurs de sapin,

 La douce féérie qui va bientôt s’inviter au cœur des foyers.

 

En ce 1er novembre, nos pensées vont vers ceux

 Qui ne sont plus là…

Parents, amis, voisins, compagnons de route

 Des présences absentes, mais toujours

 Vivantes dans nos souvenirs.

C’est aussi cela, novembre : un mois de recueillement,

De mémoire et de gratitude.

 

Dehors, le vent nous invite à ressortir

Doudounes, pulls et polaires.

Dedans, on retrouve le plaisir simple du cocooning

 Un plaid, une tasse fumante, un livre,

 La lumière douce d’une lampe.

J’aime cette saison qui arrive, l’hiver qui s’annonce.

Ne me demandez pas pourquoi…

Peut-être parce que le froid du dehors

 Rend la chaleur du dedans encore plus belle.

Bienvenue Octobre

 

Bienvenue Octobre

 

Octobre est là, avec son lot de petits plaisirs et de douceurs retrouvées. Les citrouilles apparaissent devant les maisons, rappel discret qu’Halloween approche et que la saison des veillées mystérieuses revient.

La fraîcheur s’invite chaque matin, piquant les joues et les nez, mais elle apporte aussi ce plaisir d’un cocooning retrouvé, quand on se blottit entre les plaids et les livres.

Devant la fenêtre, les boules de graisse et de graines trouvent leur place, petites offrandes aux oiseaux qui virevoltent et viennent animer les heures calmes.

 

Dehors, la forêt se pare de ses plus belles teintes : rouges ardents, ors flamboyants, bruns profonds.

Un spectacle vibrant, comme si la nature voulait nous offrir, avant l’hiver, une dernière étreinte de chaleur et de couleurs.

 

Octobre, entre frissons et réconfort, entre lumière d’automne et ombre des veillées, n’est-il pas le mois le plus magique de l’année ?

 

À l’intérieur, le poêle à bois diffuse sa chaleur réconfortante, celle qui fait oublier la fraîcheur du matin. Même le chat, qui en été préfère ses escapades nocturnes, se glisse désormais sous la couette pour partager nos nuits, comme s’il savourait lui aussi ce cocooning de saison.

 

. Et partout autour, la forêt s’habille de couleurs chaudes, comme un tableau vivant où se mélangent l’or, le rouge et l’ocre.

 

Octobre, c’est ce moment de transition où la nature ralentit doucement, nous invitant à faire de même : profiter de la maison, des flambées, des balades sous les feuilles et des soirées à l’abri du froid qui revient. Un mois où l’on retrouve un peu de magie simple, entre frissons d’Halloween et chaleur des petits instants partagés.

Bienvenue à l'Automne !

 

Ce qu’il y a de beau avec l’automne, c’est lorsque le matin se lève

 Après une semaine de pluie, de vent et brouillard et que 

 Tout l’espace, brutalement, semble se gorger de soleil.

Victor-Lévy Beaulieu

 

Bienvenue à l'Automne 

Et belle semaine, les Amis 

L’automne s’avance, discrètement, comme

 Un vieux sage qui connaît la valeur du temps.

Dans les forêts de sapins du Forez,

 Les sentiers se couvrent d’un tapis rouge et or,

Les feuilles tourbillonnent au gré du vent frais,

Et les champignons percent la mousse humide,

Comme autant de trésors cachés aux promeneurs attentifs.

L’automne revient comme une vieille chanson, familière et apaisante.

Dans les forêts du Forez, les sentiers

 Se parent de rouges, de bruns et d’or,

Les champignons pointent sous la mousse,

Et la fraîcheur saisit doucement les matins.

Un bonheur simple, surtout pour le toutou

 Qui retrouve son énergie dans cet air vif et léger.

 

La montagne moyenne s’adoucit sous la lumière dorée,

Les crêtes se dessinent dans une brume légère,

Et les villages s’illuminent de cette douceur unique,

Celle qui invite à ralentir, à savourer la quiétude.

 

Au village, le tracteur dépose

 Les dernières stères de bois.

On range les bûches avec soin,

On peste un peu contre la corvée de ramonage,

Mais on sourit dès que le poêle s’anime,

Que la première flambée éclaire la pièce

Et emplit la maison d’une chaleur douce.

 

C’est la saison des promenades en pull,

Du souffle qui se devine dans le froid naissant,

Des veillées tranquilles qui invitent à rêver.

Déjà, les vitrines évoquent Halloween,

Et dans un coin de l’esprit s’installent

 Les premières images de Noël,

Ses lumières, ses décorations, ses instants partagés.

 

C’est la saison des bois qui craquent dans l’âtre,

Des châtaignes et des champignons les cèpes  

Des stères empilés dans la cour,

Des promenades où l’on croise

 Un lézard qui s’attarde au soleil,

Ou un écureuil pressé de remplir sa réserve.

 

Ici, en Auvergne, l’automne n’est pas seulement une saison :

C’est une fête silencieuse,

Une danse de couleurs chaudes

Qui réchauffe le cœur avant l’hiver.

C’est une promesse :

Celle d’un foyer qui crépite,

D’une nature qui s’endort en beauté,

Et d’un cœur qui se prépare à l’hiver

Dans la quiétude des montagnes et des bois.

Septembre s’installe en douceur

 

Septembre s’installe en douceur 

Les matins se parent de fraîcheur, la lumière se fait plus douce et les forêts se transforment. Les rouges profonds, les bruns et les ors habillent les feuillages, les chemins se tapissent de feuilles mortes qui craquent sous les pas. L’air transporte l’odeur de terre humide et de champignons fraîchement cueillis.

 

C’est la saison des stères de bois livrés et rangés, promesses de veillées au coin du feu. Le cocooning reprend doucement ses droits : un plaid, une tasse fumante, la chaleur d’une maison où l’on se sent bien.

 

Mais hélas, septembre, c’est aussi le retour des sinistres coups de fusil, le vacarme des chasseurs qui viennent troubler la quiétude des bois. Comme une fausse note au milieu de cette symphonie d’automne.

 

Alors on choisit de garder en mémoire les vraies couleurs de cette saison : celles de la nature, des forêts en feuillage incandescent, et de la douceur retrouvée au cœur de son foyer.

Août s’effeuille…

Août s’effeuille…

 

Août s’effeuille comme un vieux carnet de vacances,

Plein de rires salés, de promesses en maillot de bain,

De danses sous les lanternes, pieds nus

 Sur le sable ou l’herbe tiède des lacs.

Les corps se sont frôlés, aimés, parfois oubliés au matin.

Des regards croisés dans la lumière orangée d’un soir d’août,

Où l’on s’est cru éternels… juste pour une nuit.

 

Les fêtes battent leur plein dans les villages et sur les plages,

Les musiques s’envolent avec les étoiles filantes,

Les souvenirs se tissent entre deux verres levés,

Et pourtant, déjà, le jour décline plus tôt.

 

L’ombre grandit sur les chemins,

Une brise fraîche glisse entre les feuillages.

Le silence gagne quand la foule s’en va,

Et l’on devine derrière l’horizon la silhouette de septembre.

 

Le soleil, encore là, baisse les yeux doucement,

Comme s’il savait…

Que tout cela touche à sa fin.

 

Le Tour de France est rangé au placard, 

les vacanciers brûlés au soleil plient bagage, 

Les enfants comptent à reculons les jours avant la rentrée. 

Et moi, j’avoue, en 2025, je souffle un peu. 

Ce n’est pas un été qu’on a eu, c’est une fournaise,

 Une lessiveuse à ciel ouvert. Des orages brutaux,

 Des nuits sans sommeil, des journées à ne rien

 Pouvoir faire sauf attendre que ça passe.

 

Et moi, dans ce mois d’août qui soupire,

Je guette la première feuille rousse,

Le premier matin qui sent l’automne,

Et je me dis : vivement les pluies douces,

 Les soirées paisibles,

Alors oui, vivement septembre. 

Vivement que les arbres commencent à frémir,

 Que les forêts se parent de leurs habits roux. 

Que l’air redevienne respirable, que la pluie tombe

 Doucement sur la terre craquelée. 

L’été agonise et, pour une fois, 

C’est presque un soulagement. L’automne, 

C’est le calme qui revient, le silence après la fête.

 

Vivement que la terre retrouve son calme.

Vivement septembre.

 

Avril en Auvergne, entre Quiétude et Renaissance

 

Avril en Auvergne, entre Quiétude et Renaissance

Le mois d’avril s’installe doucement en Auvergne, apportant avec lui un souffle de renouveau sur nos forêts de sapins et nos montagnes encore frémissantes des dernières traces de l’hiver. Les sentiers s’adoucissent sous le retour du soleil, la brume matinale laisse place à une lumière plus franche, et la nature s’éveille dans un discret murmure.

 

Dans les sous-bois, les premiers insectes reprennent leur ballet, attirés par la douceur retrouvée. Les lézards sortent timidement des pierres chauffées par le soleil, guettant le moment propice pour s’y prélasser. Loin de l’agitation, la moyenne montagne retrouve son rythme, entre silence apaisant et bruissement du vent dans les sapins.

 

Avril, ici, c’est un mois de contemplation et de reconnexion. Une invitation à ralentir, à observer la vie renaître sous nos pas, à retrouver la sérénité au détour d’un chemin bordé de mousse. C’est le moment où l’on prend plaisir à s’asseoir sur un tronc tombé, à écouter le chant d’un rouge-gorge, à sentir l’odeur de la terre humide après une ondée passagère.

 

Et vous, que vous inspire ce mois d’avril dans nos belles montagnes auvergnates ? 🌿🏔️

Bienvenue, printemps !!!

 

Le printemps s'invite aujourd'hui, apportant avec lui un souffle nouveau et une lumière douce qui réchauffe les cœurs. Après de longs mois d'hiver, la nature s'éveille dans un spectacle silencieux mais éclatant. Les premiers bourgeons percent timidement, les oiseaux retrouvent leur chant mélodieux, et l'air se charge de parfums subtils annonçant la renaissance du monde végétal.

 

C'est une saison d'espoir et de renouveau, un instant suspendu où tout semble possible. Le soleil, plus généreux, allonge les journées et invite à la flânerie. Les parcs et les jardins s'animent, les terrasses s'emplissent de rires et de conversations joyeuses. C'est le moment où chacun sort de sa torpeur hivernale pour embrasser l'énergie douce et vivifiante du printemps.

 

Malgré les mauvaises nouvelles qui nous entourent, malgré les augmentations et les incertitudes, sachons profiter de la nature. Même si le ciel est encore gris, même si la pluie s'invite ou que le froid persiste, la quiétude et la simplicité restent à portée de main. Il suffit d'ouvrir les yeux, de respirer profondément et d'accueillir ces instants de tranquillité que nous offre la nature.

 

Les promenades deviennent des instants de contemplation : ici, un cerisier en fleurs qui éclabousse le ciel de rose ; là, un tapis de primevères éclot sur les sentiers. Le vent caresse doucement la peau, rappelant que les beaux jours sont là, et qu'il est temps de s'ouvrir à de nouvelles perspectives.

 

Alors, accueillons cette saison avec gratitude. Profitons de chaque rayon de soleil, de chaque éclat de couleur, de chaque souffle d’air plus tiède. Le printemps n’est pas seulement une saison, c’est un état d’esprit, une invitation à s’émerveiller et à se réinventer.

 

Bienvenue, printemps !!!

Mars arrive

 

Mars arrive, porté par les premiers frissons du printemps. Il chasse les derniers frimas de l’hiver et invite la nature à s’éveiller doucement. Les jours s’allongent, la lumière se fait plus tendre, caressant les cœurs et réveillant les âmes en sommeil.

 

C’est le temps des promesses, des premières fleurs qui osent percer la terre encore fraîche, des oiseaux qui redessinent le ciel de leurs chants. Mars nous rappelle que tout renaît, que chaque saison porte en elle une nouvelle chance, un souffle d’espoir.

 

Alors, avançons avec lui, le regard tourné vers demain, prêts à accueillir les couleurs, la douceur et l’élan d’un monde qui s’éveille

Bonjour Février

 

Bonjour, nous voici au mois de février.

Je vous souhaite un agréable Weekend