" C'est de se perdre qui est beau.
Se perdre dans un livre.
Se perdre dans les yeux de quelqu'un.
Se perdre dans une symphonie si douce
Qu'elle fait jaillir
les larmes.
Lori Nelson Spielman
L'Infini des possibles
" C'est de se perdre qui est beau.
Se perdre dans un livre.
Se perdre dans les yeux de quelqu'un.
Se perdre dans une symphonie si douce
Qu'elle fait jaillir
les larmes.
Lori Nelson Spielman
L'Infini des possibles
"
Ainsi, puisque le monde dans lequel nous vivons est difficile à vivre et que
nous ne pouvons pas pour autant le quitter, la question est de savoir dans
quelle mesure nous pouvons le rendre habitable, ne fût-ce que la brève durée de
notre vie éphémère. C'est alors que naît la vocation du poète, la mission du
peintre... Quel que soit son art, l'artiste apaise le monde, il est précieux en
ce qu'il enrichit le cœur de l'homme".
Natsume Soseki
" L’être
humain a des besoins fondamentaux : du calme, de la lenteur, du repos et de la
continuité. Notre époque nous prive de tout cela. Plus une société est speed,
plus il faut donner à notre cerveau des temps de pause ! Il ne s’agit pas de
partir vivre dans un monastère. Il s’agit d’équilibrer. C’est la clé ".
Christophe
André
Je ne
m’isole pas parce que je n’aime pas les gens,
Mais
parce que le monde m’épuise
Le bruit, la foule, les conversations sans
fin.
Je
préfère être seul que mal accompagné,
Entouré
de ceux qui ne vibrent pas sur ma fréquence.
Ce n’est
pas du mépris, juste une différence.
Avec le
temps, j’ai appris à savoir qui je suis,
Ce que je veux et ce qui ne me correspond
plus.
Je ne fuis
pas la solitude : je m’y ressource.
Le
silence, la nature, ma bulle — c’est là que je retrouve ma paix.
Je ne
suis pas asocial, je suis un empathique sélectif.
J’aime
les gens, profondément, mais après
Les avoir écoutés, aidés, je dois me
retrouver.
Et ceux
qui me ressemblent comprendront :
Si je
partage un moment avec quelqu’un,
C’est par
envie — pas par manque.
Jason
Lapointe
Le
problème avec l'empathie excessive, c'est que si nous pouvons comprendre les
difficultés des autres, les autres sont incapables de comprendre les nôtres. Et
nous sommes alors le feu de joie où personne d'autre ne met de bois de
chauffage, mais où ils viennent se réchauffer les mains.
Ann
Everest