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lundi 1 septembre 2025

Son Affection ..





dimanche 31 août 2025

L'Empathie

 




Définition : Empathie : Capacité à se représenter ce que l'autre ressent.


La Boule de Poils Anti-Stress

 


vendredi 29 août 2025

Et Puis Arrive ...




mardi 26 août 2025

Les Gens Changent Pour

 



N'achète Pas ce Sac

 

lundi 25 août 2025

En cas de Défaillance

 




Ne cours Pas ...

 


samedi 23 août 2025

"On ne peut pas être malheureuse lorsqu'on a ceci





"On ne peut pas être malheureuse lorsqu'on a ceci :

L'odeur de la mer, le sable sous les doigts, l'air, le vent"


Irène Némirovsky



vendredi 22 août 2025

L'Amitié

 



mercredi 20 août 2025

Ne touchez pas à ceux qui ont plus de soixante ans.




Ne touchez pas à ceux qui ont plus de soixante ans.

Ne critiquez pas ceux qui ont plus de soixante ans.

Ne vous moquez pas de ceux qui ont plus de soixante ans.

Nous ne sommes pas juste une autre génération :

 Nous sommes de vrais survivants.

Du pain dur comme nos vies, rapides comme la savate

 D’une grand-mère en colère (qui volait avec une précision chirurgicale).

À cinq ans, on savait déjà lire l’humeur de nos parents

 Rien qu’au bruit de la casserole sur le feu.

À sept ans, on avait les clés de la maison et les consignes :

 « Il y a à manger dans le frigo. Réchauffe-le, et ne renverse rien. »

À neuf ans, on préparait le repas et on disparaissait

 Dehors toute la journée, sans téléphone, 

Juste avec un plan clair : faire du vélo et rentrer avant la nuit.

Nos genoux couverts de croûtes et de cicatrices racontaient nos aventures.

On soignait les bobos avec un peu de salive ou une feuille d’oseille.

 Et si on se plaignait, on entendait : 

« Tant qu’il n’y a pas de sang, il n’y a rien ».

Pour le goûter : du pain et du chocolat, ou du pain et de l’huile. 

On buvait à l’eau du tuyau dans le jardin.

Pas d’histoires d’allergies, pas de bouteilles en plastique.

On savait enlever une tache d’herbe, de sauce ou de rouille,

 Parce que « tu ne sors pas de la maison mal habillé », même pour aller jouer.

Et puis… on a connu ce qui semble aujourd’hui de la préhistoire :

la radio à manivelle, la télé en noir et blanc,

Le tourne-disque, les cassettes, le Walkman et le CD.

On écoutait nos chansons sur une cassette qui grinçait,

 qu’on rembobinait avec un stylo.

Avec le permis, on traversait la France en R5,

 Sans clim, sans GPS, sans hôtel réservé.

Juste une carte routière et un sandwich emballé dans du papier alu.

 Et pourtant, on arrivait toujours à bon port.

Sans Google Translate, juste un sourire et quelques mots en patois.

Nous sommes la dernière génération à avoir vécu une adolescence sans

 internet, sans batterie externe, sans stress des « 2 % restants ».

On se souvient du téléphone à cadran dans le couloir, 

Des cahiers de recettes écrits à la main, 

Et des anniversaires notés sur le calendrier de la cuisine.

Dans notre enfance, on réparait tout avec du scotch, une vis ou un clou.

On n’avait qu’une ou deux chaînes à la télé, et on ne s’ennuyait jamais.

On cherchait dans l’annuaire, pas dans Google. 

Et quand la sonnette sonnait, on savait que c’était une visite, 

pas un livreur.

Nous sommes différents.

On a un système immunitaire forgé entre le froid,

 La rue, le sucre rare et les réflexes d’esquive des coups de torchon.

Ne provoquez pas quelqu’un de 60 ans : il a vu plus que vous, vécu plus fort…

Et il a peut-être encore un bonbon à la menthe au fond de sa poche.

Nous avons survécu à une enfance sans siège auto,

 Sans casque, sans crème solaire.

À l’école sans portable, sans ordinateur, 

Avec une simple ardoise ou un cahier.

À une jeunesse sans réseaux sociaux, sans filtres, sans selfies.

On ne cherchait pas sur Google : on faisait confiance à notre instinct.

Et on a plus de souvenirs que toutes les photos

 Que vous avez dans votre téléphone.


Source internet 






mardi 19 août 2025

Le Temps

 


dimanche 17 août 2025

L’être humain a des besoins fondamentaux : du calme, de la lenteur,





« L’être humain a des besoins fondamentaux : du calme, de la lenteur, du repos et de la continuité. Notre époque nous prive de tout cela. Plus une société est speed, plus il faut donner à notre cerveau des temps de pause ! Il ne s’agit pas de partir vivre dans un monastère. Il s’agit d’équilibrer. C’est la clé.»


Christophe André


jeudi 14 août 2025

Ce n'est pas parce qu'on refuse de voir

 


 

Ce n'est pas parce qu'on refuse de voir

 La réalité qu'elle cesse d'exister.


Aldous Huxley

mercredi 13 août 2025

Il n'est rien de plus sacré que de pouvoir

 


"Il n'est rien de plus sacré que de pouvoir

 Décider librement de son existence."


Reinhold Messner


Tellement vrais

Bien hélas si peu de personne ont cette chance

Une vérité puissante et essentielle :

 La liberté de choisir son chemin est le

 Trésor le plus précieux que l’on puisse posséder. 


dimanche 3 août 2025

Je n'ai Jamais Cru ...

 



Rousseau n'était pas Rousseau pour rien ! Formidable définition

Tellement vrais surtout pour les personnes pauvres ou malade

Beaucoup d'illusions dans le mot liberté. C'est pour ça qu'ils en profitent pour nous faire le mal, nous exploiter

Le jour ou la robotique et l’IA, sera prêt à remplacer les humains

Et on est très prêt de l’échéance, croyez-moi

Ils supprimeront 60 % des humains par une 3 guerre mondiale

 


À mon âge…

 





À mon âge…

On me dit que je ne devrais plus porter

 De jeans moulants ou troués.

Que « c’est pour les jeunes ».

Qu’il est temps de couper mes cheveux,

De porter du beige, du pastel, et de ranger

 ce rouge à lèvres trop voyant.

On me suggère d’être plus « discrète », plus « élégante »,

De ne plus faire de selfies ou de bêtises…

Parce que, paraît-il, « à mon âge, ça ne se fait plus ».

Mais tu sais quoi ?

À mon âge, je me fais rire.

Parce qu’à mon âge, j’ai compris

 que la vie file à toute vitesse.

Et que les jugements…

Ne paient pas les factures, n’effacent pas les rides,

Et surtout, ne rendent personne heureux.

À mon âge, je fais ce que je veux.

Je danse dans mon salon sans musique.

Je porte des jeans déchirés, du noir, 

Du rouge, du fluo si ça me chante.

Et si un lundi gris, j’ai envie de me maquiller

 Comme pour un gala… je le fais.

Parce qu’à mon âge, j’ai cessé de demande

 L’autorisation d’exister.

Je vis pour moi. Je ris pour moi. 

Je m’habille pour moi.

Et surtout… je suis libre.

Car la vraie liberté, elle ne commence pas à 18 ans.

Elle commence le jour où tu arrêtes de t’excuser d’être heureux.

Et à mon âge… le bonheur est ma seule priorité





samedi 2 août 2025

La Résignation

 


mercredi 30 juillet 2025

Si vous Marchez





N'Oublie Jamais ...