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dimanche 6 avril 2025

C'est Quoi une Vie d'Homme

 




lundi 31 mars 2025

La Vie est Courte

 





dimanche 2 mars 2025

Le temps s’écoule, les années filent

 




Le temps s’écoule, les années filent,

Et peu à peu, nous vieillissons — c’est inéluctable.

Mais si nous comprenons que chaque jour

Est un jour idéal, que chaque instant

Est un instant parfait,

Alors nous réaliserons que vieillir est un privilège.

Le secret réside dans l’art de garder

Notre âme jeune,

De continuer à faire ce qui nous a toujours enchantés,

Même si, aujourd’hui, ces gestes exigent plus de douceur.

Le secret, c’est de se sentir jeune,

De ne jamais cesser d’être celui que nous avons toujours été,

De ne pas laisser le monde nous dicter

Qui nous devrions devenir,

De ne pas s’attarder trop longtemps devant les miroirs,

Mais plutôt de danser, chaque jour, avec la vie.

Ainsi, lorsque la mort viendra nous chercher,

Elle nous surprendra en train de sourire.


Fernando García


mercredi 19 février 2025

Si on Pouvait ...

 




samedi 15 février 2025

Mais alors quel est le but de la lecture

 




Un élève pose cette question à son maitre : « J'ai lu beaucoup de livres et j'en ai oublié la plupart ; mais alors quel est le but de la lecture ? "

L'enseignant n'a pas répondu à ce moment-là ; cependant, au bout de quelques jours, alors que lui et le jeune élève étaient assis près d'une rivière, il a dit qu'il avait soif et a demandé à l'enfant de lui apporter de l'eau avec une vieille passoire sale qu'il y avait le sol.

L'élève a été sursauté parce qu'il savait que c'était une requête sans logique.

Cependant, il n'a pas pu contredire son maître et, après avoir pris la passoire, il a commencé à accomplir cette tâche absurde.

Chaque fois qu'il plongeait la passoire dans la rivière pour apporter un peu d'eau à son maître, il ne pouvait même pas faire un pas vers lui car il ne restait plus une goutte dans la passoire.

Il a essayé et essayé des dizaines de fois mais, même si il a essayé de courir plus vite de la rive jusqu'à son maître, l'eau a continué à traverser tous les trous du tamis et s'est perdue en chemin.

Épuisé, il s'est assis à côté du Maître et a dit :

- Je ne peux pas trouver de l'eau avec cette passoire ; pardonnez-moi, maître, c'est impossible et j'ai échoué dans mes devoirs.

- Non ! Dis le vieil homme souriant - tu n'as pas échoué.

Regarde la passoire : maintenant elle brille, elle est propre, comme neuve. L'eau, qui s'infiltre dans ses trous, l'a nettoyée.

- Quand tu lis des livres - a poursuivi le vieux Maître, - tu es comme une passoire et ils sont comme de l'eau de rivière.

Peu importe si tu ne peux pas garder dans ta mémoire toute l'eau qu'ils laissent couler en toi, parce que les livres, avec leurs idées, leurs émotions, leurs sentiments, leurs connaissances et la vérité que tu trouveras entre les pages, nettoiera ton mental et ton esprit, et feront de toi une personne meilleure et renouvelée.


Voilà le but de la lecture.


mardi 11 février 2025

Ne permets pas que le venin des autres t’empêche d’accomplir le bien





Par un doux après-midi, un vieux sage marchait le long d’une rivière lorsqu’il aperçut soudain quelque chose s’agiter à la surface de l’eau. En se penchant, il distingua un scorpion, emporté par le courant, luttant désespérément pour ne pas se noyer.

Poussé par la compassion, le sage tendit la main pour le sauver. Mais à peine eut-il effleuré la créature que celle-ci, prise de panique, le piqua de son dard venimeux.

Une douleur fulgurante lui traversa la main, le contraignant à lâcher le scorpion, qui retomba aussitôt dans l’eau tumultueuse. Pourtant, loin de se détourner, le vieil homme tenta à nouveau de le secourir.

Une nouvelle piqûre, plus violente encore.

Depuis la rive, un jeune homme observait la scène avec stupeur. Incapable de se contenir plus longtemps, il s’écria :

— « Maître ! Ne voyez-vous pas ? Chaque fois que vous le touchez, il vous pique ! Laissez-le donc périr, c’est son destin ! »

La main tremblante sous l’effet du venin, le sage esquissa un sourire et répondit d’une voix sereine :

— « La nature du scorpion est de piquer. La mienne est de sauver. »

Le jeune homme fronça les sourcils, déconcerté.

Avec un effort visible, le vieillard ramassa alors une large feuille, la glissa délicatement sous le scorpion et, cette fois, sans subir de nouvelle blessure, le porta jusqu’à la terre ferme, l’arrachant à une mort certaine.

Puis, il leva les yeux vers le jeune homme et lui dit avec une douceur infinie :

— « Ne laisse jamais la nature du scorpion changer la tienne. Ne permets pas que le venin des autres t’empêche d’accomplir le bien. »