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mercredi 21 mai 2025

Les plus belles choses de la vie sont invisibles.



 





Les plus belles choses de la vie sont invisibles.

Elles touchent le cœur en silence.

 

C’est la paix d’un coucher de soleil,

La musique qui réchauffe,

Le fidèle toutou blotti près de soi,

Un bon livre lu sur un banc, au bord de l’eau, sous le soleil,

Un regard qui accueille sans rien dire.

 

Toutes ces petites merveilles nous rappellent 

Que l’âme ne se nourrit que de ce qui est vrai,

simple et sincère.

 

Alors oui, appréciez ce qui vous fait du bien.

C’est ça, la vraie richesse.


dimanche 18 mai 2025

Savoir Vivre avant de Mourir

 





Savoir Vivre avant de Mourir

 

Les Hommes s'interrogent sans cesse :

"Y a-t-il une vie après la mort ?"

 

Mais la vraie question, la plus urgente, n'est-elle pas plutôt :

"Y a-t-il une vie avant la mort ?"

 

Et surtout… vivons-nous vraiment cette vie ?

 

Apprendre à apprécier l'existence, à se contenter

 De l’essentiel, voilà une sagesse oubliée.

Le plus riche n’est pas celui qui possède tout, 

Mais celui qui ne manque de rien parce qu’il désire peu.

Celui qui sait s’émerveiller d’un rien, celui-là possède

 Un trésor que l’or ne saurait acheter.

 

Deux choses permettent réellement de nous définir :

Notre patience quand nous n’avons rien,

Et notre attitude quand nous possédons tout.

Car quand on a toujours eu tout ce qu’on voulait depuis l’enfance, 

Sait-on encore reconnaître la valeur des choses simples ?

La gratitude, la mesure, l’humilité ne s’enseignent pas dans l’abondance.

 

Vivre pleinement n’est pas toujours simple.

La pauvreté, l’absence de moyens, la précarité freinent les élans.

Et que dire de la santé  mentale comme physique  

ce bien si précieux qu’on ne remarque souvent qu’en le perdant ?

 

Mais malgré les limites, malgré les obstacles, 

il reste tant à savourer :


Le souffle du vent sur un sentier,

Le silence habité d’une forêt,

La beauté brute d’une montagne,

La contemplation d'un plan d'eau

Ou d'une rivière 

Le chant des oiseaux

Le bruissement des insectes

Les fleurs sauvages 

La chaleur d’un rire partagé,

La richesse d’un dialogue sincère,

La musique qui touche l’âme,

Le livre qui ouvre d'autres mondes.

Nos amies fidèles à 4 pattes

Notre relationnel Ami es Copain

 

Tout cela est presque gratuit.

Et pourtant… inestimable.

 

Alors vivez, riez, lisez, marchez, contemplez, aimez.

Soyez curieux de ce qui vous entoure, même dans la simplicité.

Car nul ne sait de quoi demain sera fait.

 

Mais aujourd’hui, vous êtes en vie.

Et c’est déjà un miracle.


Une simple réflexion partagée,

Signé Ours du Forez

© copyright Ours du Forez

 



samedi 17 mai 2025

La Musique, Messagère de Lumière

 




La Musique, Messagère de Lumière


J’aime la musique, profondément.

Parce qu’elle est sans doute l’expression la plus pure, la plus sublime, 

De ce que l’être humain peut ressentir d’intime, de vibrant, de vrai.

Elle traverse le corps, apaise l’esprit, touche l’âme.

 

Que vous soyez Musicien, DJ, ou simple Auditeur, la musique

 A ce pouvoir de transformer un instant banal en une bulle d’éternité.

Jouez, mixez, écoutez vos morceaux préférés.

Choisissez ceux qui vous transportent, ceux qui vous apaisent, 

ceux qui vous soignent.


Car oui, certaines musiques soulagent la douleur, 

Qu’elle soit physique ou morale.

Elles font disparaître les tracas du quotidien, elles réchauffent

 Les cœurs fatigués, elles redonnent foi en des jours meilleurs. 

Ne laissez jamais personne éteindre votre bonne humeur, 

Ni vous couper de cette source intérieure de joie.

Car dans chaque note qui résonne en vous, il y a une étincelle de bonheur.

Et un cœur joyeux, c’est un cœur qui rayonne, qui inspire, 

Qui offre autour de lui toujours plus de lumière et de renouveau.

 

Alors, écoutez.

Jouez.

Créez.

Dansez.

Laissez la musique faire son œuvre.

 

Et voyez comme le cercle se referme : 

De la joie naît la paix, et de

   La paix, une forme de liberté.


Une simple réflexion partagée,

Signé Ours du Forez


© copyright Ours du Forez


dimanche 11 mai 2025

À force de vivre, t’apprends à trier le bruit

 



À force de vivre, t’apprends à trier le bruit

 

Une fois que t’as bouffé assez de poussière,

Que t’as vu défiler les clowns, les grandes gueules,

 Les mecs qui brassent du vent…

T’apprends à plus lever les yeux pour rien.

Tu sais, ce genre de bruit vide qui fait semblant d’être vivant.

Les paillettes collées sur le vide,

les sourires vendus à la douzaine,

Les postures, les poses,

Les rois du rien qui se prennent pour des soleils.

Non.

À un moment, t’as plus le temps 

Pour cette parade de singes.

Tu veux du vrai.

Tu veux l’usé, le cabossé, le discret.

Ce qui a du poids, pas du volume.

Ce qui parle bas mais touche profond.

Le reste ?

Du cirque.

Et t’as plus l’âge pour ça.

 

Une simple réflexion partagée,

Signé Ours du Forez

 

dimanche 4 mai 2025

On ne peut pas arranger ce qui s’est brisé avec quelqu’un qui refuse de voir sa propre part dans la fracture.

 




Avec les années, une leçon s’est imposée à moi avec la force tranquille des évidences que l’on finit par accepter : On ne peut pas arranger ce qui s’est brisé avec quelqu’un qui refuse de voir sa propre part dans la fracture. Tenter d’expliquer, de recoller les morceaux, de sauver le lien à tout prix… devient vite un combat solitaire et épuisant, surtout lorsque l’autre campe sur la certitude d’être irréprochable.

 

Il n’y a pas de réparation possible sans reconnaissance partagée. Toute relation s’écrit à deux, dans ses beaux jours comme dans ses orages. Si l’un ni les responsabilités qui lui reviennent, l’équilibre est rompu. Et il n’y a alors plus de terrain commun où se retrouver.

 

Autre apprentissage précieux : cesser de vouloir se justifier. Car vouloir trop expliquer, trop clarifier, trop se défendre, c’est souvent donner à l’autre de nouveaux arguments, de nouvelles armes. C’est lui offrir du grain à moudre, comme si l’on validait malgré soi sa version des faits. Apprendre à se taire, à prendre du recul, à ne pas entrer dans la danse du malentendu, c’est aussi une forme de sagesse. Parfois, la paix intérieure passe par le silence et le détachement, bien plus que par le besoin d’être compris.


© copyright Ours du Forez


samedi 3 mai 2025

Il n’est point de Présent plus Précieux que l’Attention que l’on Offre.

 



Il n’est point de Présent plus Précieux que l’Attention que l’on Offre.


Il n’est point de présent plus précieux que l’attention que l’on offre. Le temps que l’on accorde à l’autre, même fugacement, peut illuminer une journée entière.

 

Parfois, il suffit d’un rien : un sourire sincère, un mot bienveillant, un geste léger. Parfois, c’est un simple « bonjour », un « comment ça va ? », un « merci » glissé entre deux silences. Et soudain, pour celui ou celle qui le reçoit, la journée se pare de lumière, comme un matin ensoleillé. La nuit elle-même semble devenir étoilée.

 

En fait, tout est là : dans la simplicité. Dans les liens authentiques, les gestes naturels, les regards vrais. La vie elle-même, les rencontres, les amitiés... tout cela se nourrit de cette simplicité que l’on oublie parfois, à force de courir après l’artifice.

 

Même à distance, il suffit parfois d’un petit rien : un appel, une visio improvisée, un message sur les réseaux sociaux. Un simple « coucou » suffit à faire sentir à l’autre qu’il existe dans nos pensées. Ce sont là de véritables ponts tendus entre les cœurs.

 

Ces petits riens sont, en vérité, de grands touts. Des trésors discrets, trop souvent oubliés. Des cadeaux simples, mais ô combien essentiels… et qui, peu à peu, hélas, se perdent.


© copyright Ours du Forez





Voila un exemple d’attention touchant émouvant 

Comme quoi il y a encore des personnes 

qui peuvent donnez un peu de bonheur


Une jeune femme a partagé cette photo avec 

L’acteur Jason Momoa et a écrit :

“En 2018, je suis allée prendre une photo avec Jason Momoa.

J’étais en fauteuil roulant, et il m’a pris dans ses bras pour la photo parce que je ne pouvais pas me lever, et il ne voulait pas que le fauteuil apparaisse sur la photo.

Je l’ai remercié et lui ai dit que je suis un peu lourde…  Il a répondu : « Ce n’est pas grave, je suis très fort. »

Cette photo est très spéciale pour moi, car c’est une personne incroyablement gentille, attentionnée et compréhensive. Ce jour-là, j’ai réalisé qu’il était un acteur, mais surtout un humain exceptionnel. ”


La guerre, encore et toujours… Parce qu’il faut bien que les connards s’Amusent !!!

 






Ce texte n’a rien de léger, je vous le concède. Il ne s’inscrit pas dans la douceur habituelle de ‘’ En Toute Quiétude ‘’mais il m’était nécessaire.

Ce matin, peut-être sous l’effet d’une morosité diffuse, ou simplement d’un trop-plein de lucidité, j’ai laissé couler les mots — comme un cri, un avertissement, ou un essai noir.

Autour de moi, nombreux sont ceux qui partagent ce ressenti : celui d’un monde qui tangue dangereusement, pendant qu’on détourne le regard.

Alors, pour une fois, j’ai troqué le calme des forêts contre la brutalité d’un style à la Bukowski,

car parfois, dire les choses sans fard, c’est encore la meilleure façon de rester debout.

 

 Ours du Forez










La guerre, encore et toujours…

Parce qu’il faut bien que les connards s’amusent

 

On croyait que c'était du passé,

Un vieux film noir en noir et blanc

Rangé dans un tiroir qui pue la naphtaline

Avec les uniformes miteux et les photos jaunies des grands-pères.

On s’était raconté que ça n’arriverait plus,

Plus jamais, juré.

La paix universelle, les droits de l’homme, les smartphones, les likes…

On était vaccinés contre la connerie, non ?

 

Et puis voilà :

Ukraine. Gaza. Soudan.

Encore des ruines, encore des gosses morts, encore des types

Qu’on arrache à leur lit pour aller crever dans une flaque de pétrole et de mensonges.

Le vieux disque rayé tourne toujours :

Pouvoir. Pognon. Terre. Vengeance.

Et bien sûr…

Religion.

Toujours elle.

Et leur salope de prédicateurs

Putain d’intégristes

Ce foutu alibi à massacres.

Les intégristes avec leurs barbes, leurs dogmes et leurs bombes.

Les salauds qui tirent les ficelles pendant que les autres trinquent.

Le petit peuple, toujours.

Ceux qui bossent, qui se taisent, qui crèvent.

Ceux qui n’ont pas les moyens de se barrer.

Pendant que les gros poissons, eux,

Sirotent leur pinard loin du carnage.

 

Et nous ?

Nous on regarde.

On scrolle.

On partage.

On gueule derrière nos écrans, planqués derrière nos murs numériques.

Pendant que là-bas, y’a des gamins qu’on enterre

Dans des sacs poubelle.

Tu peux avoir toutes les infos du monde

Dans ta poche

Et rester con comme un balai.

Parce que la guerre, elle ne commence pas avec des bombes.

Elle commence avec des mots.

Des discours.

De la haine à peine maquillée.

Du silence complice.

De l’indifférence servie tiède, avec le café du matin.

 

La paix, ce n’est pas une colombe sur un sticker.

Ce n’est pas un putain de discours à l’ONU.

C’est du courage.

De l’écoute.

Du bon sens.

Et surtout

Du recul.

Le genre de chose que personne n’a plus envie d’avoir,

Trop occupé à chialer sur ses privilèges de merde.

 

Et si t’ouvres bien les yeux,

Ce qui vient, ça fout encore plus la trouille :

Une planète bondée jusqu’à la gorge,

Les déchets, la bouffe trafiquée, le climat qui se barre en sucette,

Et les robots, les IA, les trucs froids et dociles

Qui vont remplacer 65 % des esclaves salariés.

Quand y’a plus assez de taf pour les gueux,

Devine quoi ?

On fait de la place.

On balance une autre guerre, une grosse,

La troisième, la vraie de vraie

Rien à voir avec 40

Celle qui fait table rase.

Et après ?

On reconstruit.

Avec des machines.

Des drones pour rebâtir ce que des bombes auront rasé.

Et les mêmes qui vendent les armes

Vendent aussi les pansements,

Et te fourguent en prime le nouveau monde en kit.

Avec un sourire.

 

Alors ouais,

Tu fais ce que tu veux de cette réflexion.

Moi, j’ai juste écrit ce qui pue sous les tapis.

Parce que rester lucide, aujourd’hui,

C’est déjà pas mal.

C’est déjà refuser d’être le prochain pion

Sur leur foutu échiquier.

 

Et si tu regardes bien la carte...

Les joueurs sont déjà en place

 

Les drapeaux sont plantés,

Les alliances sont connues,

Reste plus qu’à allumer la mèche.

 

À l’ouest du Pacifique, ça bouscule déjà les lignes :

Les ricains jouent les shérifs,

Collés au cul des chinois

Avec le Japon et la Corée du Sud en chiens de garde,

L’Australie qui bande les muscles en hurlant qu’elle est prête

Et Taïwan,

La mèche,

Le putain de domino qui peut faire tomber la table.

En face, la Chine, calme, énorme, déterminée,

Et sa chienne folle du nord, la Corée du Nord,

Qui grogne des missiles entre deux famines.

 

Tout ça, ce n’est pas du cinéma.

ça sent la vraie bagarre,

Avec des drones dans le ciel et des data centers comme tranchées.

 

En Europe, même rengaine.

Les vieux pays de l’OTAN qui font semblant d’être prêts,

Et la Russie,

Ce vieux ours malade, paranoïaque et nucléaire,

Qui s’enfonce en Ukraine comme dans une bouteille de vodka.

Mais faut pas croire,

L’Europe n’est pas prête.

Elle vit encore dans l’illusion qu’on peut arrêter un tank avec des hashtags

Et des débats sur LCP.

 

L’Inde, elle, c’est le joker instable.

Trop grosse pour rester neutre,

Trop fière pour obéir.

Elle a des comptes à régler avec la Chine,

Des vieilles rancunes avec le Pakistan,

Et un ego nucléaire qui veut sa place dans le chaos.

Elle jouera sa partition,

Ni blanche ni noire,

Gris foncé.

 

Et l’Afrique, elle,

C’est le terrain vague.

Pas parce qu’elle ne compte pas,

Mais parce que tout le monde y joue en douce.

La Chine y a planté ses drapeaux sur les mines de cobalt,

Les Russes y traînent leurs mercenaires comme des ombres,

Les Américains y planquent des bases,

Et les Européens y pleurent leur colonialisme comme des vieux alcooliques.

Là-bas, ça pète déjà.

Par procuration.

Par lassitude.

Par appétit.

 

Et toi,

Pauvre lecteur,

Tu te dis que tout ça c’est loin.

Que c’est trop grand pour t’y mêler.

Alors tu t’accroches à tes petites certitudes,

Ton salaire, ton prêt immo, ton week-end à Center Parcs.

Mais quand ça va péter,

Y’aura pas de pub entre les bombes.

Pas de filtre pour flouter les cadavres.

Pas d’algorithme pour te cacher le goût du sang.

 

Le monde est une poudrière,

Et le pire,

C’est qu’on sait même plus si quelqu’un tient encore l’allumette

Ou si elle est déjà tombée.

 

© copyright Ours du Forez

jeudi 1 mai 2025

Il y a des routes qu’on prend seul, Juste parce que c’est comme ça.

 




 Il y a des routes qu’on prend seul, Juste parce que c’est comme ça.


Il y a des routes qu’on prend seul. Pas par choix héroïque, 

Pas pour faire le malin. Juste parce que c’est comme ça.

Pas de famille à appeler, pas d’amis à inviter, 

Pas d’épaule sur laquelle s’effondrer.

Juste vous, vos tripes, et ce qui reste de courage au fond du bocal.

 

Il existe un genre de personnes qu’on ne repère jamais dans les foules.

Pas de fringues criardes, pas de rires gras.

Ce sont des ombres discrètes, qui traînent dans les allées du monde sans faire de bruit.

Elles sortent quand il faut, pas quand ça leur chante. 

Le carrouf, la pompe essence ou à fric d'ailleurs

 Une marche journalière sous la pluie avec leur fidèle chien

. Et retour à la tanière.

 

Elles n’ont pas besoin de parler pour exister.

Elles ne collectionnent pas les amis.

Elles en ont un, peut-être deux. Mais des vrais. 

Du genre qui ramassent vos morceaux sans faire de discours.

Elles répondent rarement au téléphone, pas par négligence, 

Mais parce qu'elles ont appris que le silence ne déçoit pas.

Parfois, elles écrivent.

Des bribes sur un blog que personne ne lit.

Sourire sauf exception, vous !!!

Un livre peut-être, quelque chose d’inutile et essentiel à la fois.

Des pages qu’elles n’osent pas publier.

Un cri sans hurlement. Un refuge

Elles zonent sur les réseaux comme on regarde la pluie tomber. 

En observant. En écoutant les cœurs battre à travers les écrans.

Pas pour se montrer. Juste pour savoir qu’elles

 Ne sont pas seules à être seules.

 

Elles aiment l’hiver. Le gris, le froid qui pique.

Pourquoi,  il y a moins de monde dehors 

La mer quand elle est mauvaise. La montagne quand elle se fout du monde.

Les forêts trempées, les chemins qu’on prend sans croiser personne.

 

Elles sourient peu, mais quand ça sort, c’est propre, c’est vrai.

Elles rêvent. Beaucoup. Et elles ne font de mal à personne, sauf si on insiste trop.

Parce qu’il y a une limite. Et sous cette façade calme, y’a une âme qui a survécu à bien des naufrages.

 

Alors si un jour vous en croisez une, ne faites pas de bruit.

Regardez-la. Vraiment.

Et si vous avez un peu de chance, elle vous laissera entrevoir ce foutu

 Trésor qu’elle planque sous des années de silences et de départs.


© copyright Ours du Forez