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samedi 31 mai 2025

La seule fois où la plupart des gens pensent

 




La seule fois où la plupart des gens pensent à l'injustice,

 c'est quand ça leur arrive. 


Charles Bukowski


vendredi 30 mai 2025

Tout bien pesé, je ne pouvais pas faire autre chose qu'écrire.

 





Tout bien pesé, je ne pouvais pas faire autre chose qu'écrire. Reste que si je terminais sur un bûcher, je ne me considérerais pas comme un saint. Je penserais simplement que c'était écrit. Le principal aura été de faire ce que j'avais eu envie de faire : pas un homme sur mille n'y parvient. Ma défaite sera ma victoire. Le rejet ne signifie rien. Je suis celui que j'ai désiré être. 


Charles Bukowski


jeudi 15 mai 2025

Je ne suis pas un Homme de Réflexion

 





mardi 13 mai 2025

De plus en plus, Je m'attends à de moins en moins.

 



De plus en plus,

Je m'attends à de moins en moins.


Charles Bukowski


samedi 10 mai 2025

Il n'y a pas de Vide plus Grand Que ...

 




vendredi 9 mai 2025

Je n'aime pas les lois, les morales, les religions ou les règles. Je n'aime pas être façonné par la société.

 





"Je n'aime pas les lois, les morales, les religions ou les règles.

 Je n'aime pas être façonné par la société."


 Charles Bukowski


Il y a dans ces mots une rébellion sourde, presque instinctive. Une déclaration d’indépendance qui ne se veut ni grandiloquente, ni militante, mais profondément viscérale.

 

Bukowski n’a jamais été un modèle de vertu selon les standards établis, et c’est peut-être ce qui le rend si vrai, si brut, si humain. Ce rejet des lois, des morales dictées par d’autres, des religions imposées à la naissance comme des vêtements trop serrés, résonne en moi comme une évidence.

 

Je suis athée, mais plus encore, je suis libre penseur. Cela ne signifie pas que je vis sans éthique, bien au contraire. Cela signifie que je choisis mes repères, que je questionne chaque norme avant de l’accepter, que je préfère le doute sincère à la certitude héritée.

 

La société aime les cases. Elle nous apprend très tôt à nous y plier : à croire, à obéir, à produire, à consommer, à nous taire. Elle façonne, polit, ajuste, jusqu’à ce que chacun devienne un rouage silencieux dans une immense machine bien huilée. Et ceux qui refusent ce destin sont pointés du doigt, étiquetés, marginalisés.

 

Mais faut-il vraiment appartenir pour exister ? Doit-on se plier pour être accepté ? Je crois que non. Je crois que c’est dans cette tension entre l’individu libre et les chaînes invisibles de la société que naît une certaine forme de vérité. Celle qu’on trouve au fond d’une forêt silencieuse, dans les ruines d’un monde trop pressé, ou dans la solitude choisie d’un esprit libre.

 

Je ne suis pas antisocial, je suis simplement asocial à ce que l'on veut me faire être. Je refuse de me laisser façonner comme un bloc de pierre entre les mains d’un sculpteur que je n’ai pas choisi. Mon âme ne se plie pas aux dogmes. Ma foi se trouve dans la beauté du doute, dans la quête du vrai, dans le refus du moule.

 

Merci Bukowski. D’avoir dit tout haut ce que tant d’âmes libres ressentent tout bas.

 

Une simple réflexion partagée, signé Ours du Forez

 

 

dimanche 4 mai 2025

Ce n’est pas celui qui pense à Toi

 




Ce n’est pas celui qui pense à toi à deux heures du matin,

 seul dans sa chambre, incapable de trouver le sommeil.

C’est celui qui pense à toi à trois heures de l’après-midi, alors qu’il rit aux

 éclats avec ses amis, et qu’au creux d’un sourire, une pensée surgit :

« Si seulement tu étais là… »

Car n’importe qui peut te manquer dans la solitude ou l’ennui.

Mais si quelqu’un pense à toi au milieu d’un éclat de rire,

parce qu’avec toi, le rire est plus vrai, plus beau…

Alors là, c’est autre chose.

Là, c’est réel.


 Charles Bukowski

jeudi 1 mai 2025

Comment diable un mec peut-il apprécier d'être réveillé à six heures

 




"Comment diable un mec peut-il apprécier d'être réveillé à six heures trente par un réveil, de bondir de son lit, s'habiller, ingurgiter un petit déjeuner, chier, pisser, se brosser les dents et les cheveux, se bagarrer en bagnole pour arriver dans un endroit où il fait essentiellement du fric pour quelqu'un d'autre et où on lui demande de dire merci pour la chance qu'il a ?"

 Charles Bukowski


 

Chaque matin, l'abattoir s'ouvre.

Le réveil hurle, les zombies se lèvent. Ils courent, avalent leur café tiède, se battent dans les embouteillages pour aller vendre leur temps, leur énergie, leur vie... à d'autres.

 

Et ils disent merci.

Merci d'être exploités, lessivés, épuisés. Merci pour la crasse d'un salaire qui partira aussitôt dans les crédits. Merci pour la roue infernale qu'ils font tourner, sans jamais se demander pourquoi.

 

Pourquoi ?

Parce qu'on leur a martelé depuis l'enfance : Consomme, bosse et crève.

Parce qu'ils sont biberonnés à la pub qui leur vend des rêves formatés, des besoins artificiels, des désirs préfabriqués.

 

Parce qu'ils se retrouvent prisonniers d'une boucle débile :

Prendre un crédit pour acheter une bagnole.

Utiliser la bagnole pour aller bosser.

Travailler pour rembourser la bagnole.

 

Et ils rient... jaunes. Comme des hamsters tournant dans leur roue, trop fatigués pour voir que la cage n'a même pas de porte.

 

Ils croient être libres parce qu'on leur laisse choisir la couleur de leur voiture, ou la marque de leur téléphone.

Ils croient être heureux parce qu'ils peuvent cramer un week-end dans une galerie commerciale à acheter des trucs dont ils n'ont pas besoin pour impressionner des gens qu'ils n'aiment même pas.

 

Et pourquoi restent-ils aussi dociles, aussi chamallow, aussi désespérément mous ?

Parce qu'on leur a injecté dans le crâne, à coups de sermons et de catéchismes, l'idée que le travail est la vertu suprême. Que souffrir est noble. Que trimer sans broncher te vaudra un ticket pour un paradis hypothétique, pendant que d'autres, ici-bas, se gavent sur ton dos.

 

Depuis des siècles, l'église bénissait les riches et prêchait la soumission des pauvres.

Aujourd'hui, elle a laissé la place aux banques, aux pubs, aux multinationales.

Mais le refrain est resté le même : "Travaille et tais-toi. Travaille et sois reconnaissant."

 

Alors oui, Bukowski gueule. Il crache à la gueule de ce monde à genoux.

Parce qu'au fond, l'humanité aurait pu être solidaire, révoltée, vivante.

Au lieu de ça, elle jalouse les pauvres, méprise ceux qui osent vivre autrement, et crache sur ceux qui, malgré leur misère, ont gardé ce qu'elle a perdu : le temps, la liberté, la dignité.

 

Ce n’est pas une société, c'est un cirque triste.

Et les clowns sont fiers d’y participer.


Une simple réflexion partagée, signé Ours du Forez.

 



lundi 28 avril 2025

Ne me dis jamais 'Quand on veut, on Peut

 





" Ne me dis jamais 'Quand on veut, on peut', 

Car tu n'as pas idée de combien j'ai voulu… 

Et combien cela fut impossible." 


Charles Bukowski 



Ils aiment te balancer leurs slogans comme des certitudes.


"Quand on veut, on peut."


Comme si ta vie entière se résumait à un manque de volonté. Comme si ta sueur, tes nuits blanches, ton courage, ta foi, ne comptaient pas. Comme si ceux qui échouent étaient juste des paresseux en costume de victime.

 

La vérité, c’est que vouloir ne suffit pas.


La vérité, c’est que si tu nais du mauvais côté de la barrière, si tu n’as pas les bons parents, les bons codes, les bons visages, alors tu vas devoir ramer à contre-courant pendant que d’autres surfent sans même toucher l’eau.

 

L’argent est le premier mur.

Le réseau est la deuxième barrière.

La chance, ce foutu facteur X, te passe sous le nez sans te regarder.

La confiance en soi, le culot ? Pas donné à tout le monde. Ils poussent mieux sur les terres fertiles que sur les sols brûlés par la misère ou le doute.

 

Et même quand tu as tout ça — quand tu as bossé, que tu t'es battu, que tu as espéré, que tu as tout risqué — parfois, la porte reste fermée. Sans raison. Juste parce que le monde n'est pas un foutu tableau d'honneur mais un jeu truqué où certains jettent les dés pipés avant même que tu puisses t'asseoir.

 

Alors non. Ne viens pas me dire que vouloir, c’est pouvoir.

Parfois vouloir, c’est juste se briser contre un mur

 En sachant très bien qu'il ne bougera pas.

 

Mais ce qui compte, c’est que tu aies voulu.

Avec tes tripes. Avec ton cœur.

Parce qu'au fond, continuer à vouloir dans un monde qui t'écrase, c’est peut-être la seule forme de victoire qui vaille encore quelque chose.

 


Une simple réflexion partagée, signé Ours du Forez.


vendredi 18 avril 2025

Tu l'aimais, n'est-ce pas ?

 




 

" Tu l'aimais, n'est-ce pas ?

Il soupira :

- Comment puis-je vous répondre ? Elle était folle.

Il passa la main dans ses cheveux.

- Mon Dieu, elle était folle.

Chaque jour, elle était une femme différente.

Tantôt entreprenante, tantôt maladroite.

Tantôt  exubérante, tantôt timide. Pas sûre d'elle-même et déterminée.

Douce et arrogante.

Elle était un millier de femmes, mais son parfum était toujours le même.

Indubitablement.

C'était ma seule certitude.

Elle me souriait, elle savait qu'elle pouvait me tromper avec ce sourire.

Quand elle souriait, je ne comprenais plus rien,

Je ne pouvais plus parler ni penser.

Rien, rien du tout.

Il n'y avait plus qu'elle tout d'un coup.

Elle était folle, vraiment folle.

Parfois, elle pleurait.

On dit que dans ces cas-là, les femmes veulent juste une étreinte,

Elle, non.

Elle devenait nerveuse.

Je ne sais pas où elle est en ce moment, mais Je parie qu'elle est encore à la recherche de rêves

Elle était folle, vraiment folle.

Mais je l'ai tellement aimée. "


Charles Bukowski


mercredi 16 avril 2025

Garde une Toute Petite Etincelle

 





lundi 14 avril 2025

Ne me dis jamais 'Quand on veut, on peut

 




"Ne me dis jamais 'Quand on veut, on peut', 

Car tu n’as pas idée de combien j’ai voulu… 

Et combien cela fut impossible."


Charles Bukowski


samedi 5 avril 2025

Ce qui Déglingue les Gens

 






jeudi 3 avril 2025

Tu n'es pas paresseux, tu es simplement malheureux.





"Tu n'es pas paresseux, tu es simplement malheureux. Les personnes malheureuses se fatiguent vite et n'ont envie de rien faire."


Charles Bukowski


dimanche 30 mars 2025

Passion, Peur, Plaisir.

 




Ceux qui ont une âme intense

Ressentent tout plus Fort ;

Passion, Peur, Plaisir.


Charles Bukowski.


samedi 29 mars 2025

La Vie, Parfois ...

 




lundi 10 mars 2025

Je ne suis pas un homme de réflexion

 




« Je ne suis pas un homme de réflexion, je fonctionne aux sentiments et mes sentiments vont aux estropiés, aux torturés, aux damnés, aux égarés, non par compassion mais par fraternité, parce que je suis l’un des leurs, perdu, paumé, indécent, minable, apeuré, lâche, injuste, avec de brefs éclairs de gentillesse ; salement atteint et conscient de l’être, cette lucidité ne m’est d’aucun secours, au lieu de me guérir elle me plombe. »


Charles Bukowski


dimanche 16 février 2025

J'ai cessé d'attendre les trains lorsque j'ai réalisé que le train, c'était moi.

 





" J'ai cessé d'attendre les trains lorsque j'ai réalisé que le train, c'était moi. Qui veut voyager avec moi trouvera toujours de la place. Qui ne veut pas, peut toujours rester à la gare".


  Charles Bukowski.


jeudi 13 février 2025

La seule fois où la plupart des gens pensent à l'injustice

 




" La seule fois où la plupart des gens pensent à l'injustice,

 c'est quand ça leur arrive. "


Charles Bukowski


mercredi 12 février 2025