Il faut avoir vécu des années dans le rien pour comprendre
Comment on peut être
subitement effrayé par la possibilité...
David
Foenkinos
Il faut avoir vécu des années dans le rien pour comprendre
Comment on peut être
subitement effrayé par la possibilité...
David
Foenkinos
"Il
arrive un moment où l’on ne ressent plus le besoin de prouver quoi que ce soit
à qui que ce soit. Non pas parce qu’on a abandonné, mais parce qu’on a
grandi."
Morgan
Freeman
Photo d'ici, d'ailleurs
Un instant figé, une émotion capturée. Photo d'ici, d’ailleurs, c'est une bulle de douceur au cœur du tumulte. Des images choisies avec soin, reflets de cette quiétude que j'aime tant : la chaleur d'un poêle à bois par une soirée d'hiver, la sérénité d'un lac au petit matin, la tendresse d'un chat endormi ou la joie d'un chien gambadant dans la neige.
C'est aussi le plaisir simple d'un café fumant à l'aube, le frémissement des feuilles sous la brise du printemps, la lumière dorée de l'été ou la mélancolie des forêts d'automne. Des instants de vie, des éclats de nature, une invitation à ralentir et à savourer la beauté du monde.
Des photos glanées au gré de mes inspirations, sur la toile comme dans mon quotidien. Parce qu'en ces temps parfois gris, le beau est une lueur précieuse à entretenir.
Je
m'efface quand l'endroit où je suis ne résonne pas avec moi.
Je
m'efface quand je me sens rejetée, peu aimée...un peu trop.
Je m'efface là où l'irrespect règne... là où les êtres
Humains se déchirent...se rabaissent...se haïssent.
Je ne reste jamais là où personne ne connaît
La valeur d'un " je t'aime" là où les cœurs sont noirs...
là où les âmes
refusent de s'unir et de vivre en harmonie.
Là où
tout résonne faux, là où on fout le bordel dans mes émotions.
Là où on
piétine mes fragilités avec les pieds sales.
Là où on
ne respecte pas mes silences et mes absences.
"La
logique du révolté est de vouloir servir la justice pour ne pas ajouter à
l’injustice de la condition, de s’efforcer au langage clair pour ne pas
épaissir le mensonge universel et de parier, face à la douleur des hommes, pour
le bonheur".
Albert
Camus, "L'Homme Révolté" (1951)