Avant tout, ne perds jamais le goût de marcher. Chaque jour, je marche jusqu’à me sentir bien, laissant derrière moi chaque mal. C’est en marchant que j’ai trouvé mes pensées les plus profondes, et je ne connais aucun fardeau si lourd que l’on ne puisse s’en libérer en avançant. Mais rester immobile, plus encore s’attarder dans l’inertie, c’est s’exposer à la maladie. Ainsi, tant que l’on marche, tout finit par s’arranger.
Søren Kierkegaard