samedi 28 juin 2025

Photos en noir et blanc

 




Toutes les femmes sont belles

 




Toutes les femmes sont belles, mais rares sont celles dont le regard captive et dévoile un abîme. Ces rares-là, ce sont des énigmes à résoudre, des labyrinthes où se perdre devient un art, et où chaque cri ou chaque soupir est une offrande.


Photos Charme Sensuelle

 



Frissons d’Ombre et de Lumière

 

Là où la lumière effleure la peau, le désir s’éveille. Ombres et reflets dessinent les courbes, dévoilent sans tout dire, suggèrent plus qu’ils ne montrent. Un frisson glisse, s’attarde sur une hanche, s’évapore dans le creux d’une clavicule offerte.

 

Le noir et blanc sublime, attise les sens, capture l’instant où le souffle se suspend, où les lèvres entrouvertes murmurent une promesse. Le jeu est silencieux, mais le corps parle… une invitation, un vertige, une brûlure douce entre ombre et lumière.


La contemplation du corps de la Femme doit être

Une réponse rassurante à l'angoisse du monde.

 

Lucien Clergue

Artiste, Photographe (1934 - 2014)






















En Attendant et Pendant L'été

 




Et Puis un Jour ...

 





Solitude crue

 






Solitude crue 

 

Je suis le seul à sentir ce bordel d’émotions qui me traversent.

La joie, la peine, les colères rentrées, 

les vieux souvenirs qui collent à la peau.

Personne d’autre n’a vraiment accès à ce foutoir intérieur.

Ils peuvent écouter, compatir ou juger — ça change rien.

Je suis seul dans cette foutue carcasse à décider

 Ce qui me détruit ou ce qui me maintient debout.

Seul à avancer comme je peux. Seul à dire stop quand ça déborde.

 

Je suis aussi le seul à protéger mon chien, mon chat.

Eux, ils comprennent sans les mots.

Ils me regardent sans attentes, sans hypocrisie.

Ils savent quand je suis bien, et quand je fais semblant.

Dans un monde qui pue le faux, eux au moins sentent encore vrai.

 

Et puis merde…

Suis-je le seul à constater que ce pays marche sur la tête ?

Que tout fout le camp dans l’indifférence générale ?

À m’apercevoir qu’on fonce dans le mur, à pleine vitesse,

 Avec le sourire du con en prime ?

Y’a des jours où c’est pas si mal d’être seul.

De ne plus faire partie de cette foire aux abrutis.

De se déconnecter.

Merci ma forêt, merci ma montagne.

Vous, au moins, vous n’avez pas oublié comment respirer.

 

Et faut pas rêver : on n’est rien.

Pas un grain de sable sur cette planète foutue.

On se réveille sans savoir si on verra le soir.

Et on se couche sans la moindre certitude de revoir la lumière.

C’est ça la vérité. Pas les infos, pas les discours, pas les likes.

 

Alors ouais, je suis seul.

Mais libre.

Et parfois, c’est tout ce qu’il reste à sauver.  


Une simple réflexion partagée,

Signé Ours du Forez

© copyright Ours du Forez


Le dessin du Jour