samedi 5 juillet 2025

L'Image de la Nuit

 



Le Type de Liberté ...

 




On devrait toujours faire les choses au moment où l’on a envie de les faire

 


" On devrait toujours faire les choses au moment où l’on a envie de les faire, sans tergiverser, sans vouloir être raisonnable, sans remettre à plus tard. Parce qu’on ne sait jamais s’il y aura un « plus tard », en réalité. Et il suffit d’un minuscule grain de sable pour que le « plus tard » se transforme en « trop tard », pour que l’espoir se métamorphose en regrets.


La pire erreur que l’on puisse faire, dans la vie, c’est d’être raisonnable. De temporiser, de douter, d’attendre. Au lieu de se contenter de vivre".


 Amélie Antoine

Il devient donc urgent de ré-ensauvager nos jardins

 



Partout en France, les jardins se ressemblent, et c’est un véritable problème. On y retrouve les mêmes haies de thuyas, les mêmes lauriers-roses plantés même dans les régions où ils gèlent en hiver, et les mêmes pelouses qui jaunissent dès les premières chaleurs.

 

Pourtant, notre pays ne se résume pas à un seul climat : chaque région possède un patrimoine végétal unique et précieux.

 

En Bretagne, les ajoncs et les bruyères se développent sous l’influence du vent et du sel. Dans les Pyrénées, le lys martagon s’épanouit en altitude. En Provence, les chênes verts et les arbousiers résistent parfaitement à la sécheresse.

 

Ce n’est pas qu’une affaire d’esthétique : les plantes locales sont le socle de la biodiversité. Les insectes y sont adaptés depuis des millénaires, et les oiseaux dépendent de ces insectes pour se nourrir.

 

Tout est interconnecté. Il devient donc urgent de ré-ensauvager nos jardins, de redonner leur place aux plantes locales et de respecter les spécificités de chaque territoire



Photos en noir et blanc

 



Lorsqu'une Femme ...

 





Photos Charme Sensuelle

 




Frissons d’Ombre et de Lumière

 

Là où la lumière effleure la peau, le désir s’éveille. Ombres et reflets dessinent les courbes, dévoilent sans tout dire, suggèrent plus qu’ils ne montrent. Un frisson glisse, s’attarde sur une hanche, s’évapore dans le creux d’une clavicule offerte.

 

Le noir et blanc sublime, attise les sens, capture l’instant où le souffle se suspend, où les lèvres entrouvertes murmurent une promesse. Le jeu est silencieux, mais le corps parle… une invitation, un vertige, une brûlure douce entre ombre et lumière.


La contemplation du corps de la Femme doit être

Une réponse rassurante à l'angoisse du monde.

 

Lucien Clergue

Artiste, Photographe (1934 - 2014)