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dimanche 31 août 2025

Kim Wilde - Cambodia

 



Il y avait les nuits où tout semblait possible…
La boule à facettes tournait, projetant ses éclats argentés sur des visages jeunes, insouciants, pleins de rêves. On entrait en boîte comme on entrait dans un autre monde, où la musique devenait la seule langue qu’on avait besoin de parler.

Un slow, un flirt timide, des regards volés dans la fumée des spots colorés… ou au contraire des déferlantes de funk, de disco ou de rock qui nous faisaient danser jusqu’à perdre la notion du temps.

Les années 70, 80, 90… c’était l’époque de nos jeunesses, des vinyles qu’on usait, des K7 qu’on rembobinait avec un stylo Bic, des posters de nos idoles punaisés aux murs. Chaque chanson avait un parfum, une odeur de liberté, un goût de premier baiser.

Dans cette rubrique, je partagerai ces morceaux qui ont bercé notre histoire. Parce que la musique est la meilleure machine à remonter le temps : elle nous rend nos 20 ans, nos nuits blanches, et nos étés sans fin.




Kim Wilde – Cambodia (1981)

 

Au début des années 80, une nouvelle vague déferlait sur les pistes : sons synthétiques, voix mystérieuses, atmosphères envoûtantes. Parmi ces perles, il y avait Cambodia, interprétée par la jeune icône pop Kim Wilde.

 

Dès les premières notes, on quittait la boule à facettes du disco pour entrer dans un univers plus sombre, plus moderne. Le rythme était hypnotique, la voix douce et grave à la fois. Ce n’était plus seulement de la danse, c’était une ambiance, presque un voyage.

 

on découvrait ce morceau sur les ondes des radios libres, intrigués par son atmosphère singulière, dans les boîtes de nuit, Cambodia créait une parenthèse étrange au milieu des tubes festifs. On ne se déchaînait pas, on se laissait porter, on flottait dans cette mélodie comme dans un rêve éveillé.

 

Moi, derrière ma cabine de DJ, je me souviens des regards qui changeaient quand je lançais ce disque. Les danseurs ralentissaient, certains s’arrêtaient même pour écouter. D’autres profitaient de ce moment suspendu pour s’approcher, pour oser un mot, un flirt. Cambodia n’était pas une chanson de foule, c’était une chanson de confidences.

 

Aujourd’hui encore, quand elle résonne, elle garde ce parfum unique. Celui d’une époque où la musique n’était pas calibrée, où chaque morceau apportait une surprise. Cambodia, c’est l’ombre et la lumière des années 80, un morceau qui nous rappelle que la nuit n’était pas faite que pour danser, mais aussi pour rêver.


samedi 30 août 2025

Pet Shop Boys - West End Girls





Il y avait les nuits où tout semblait possible…
La boule à facettes tournait, projetant ses éclats argentés sur des visages jeunes, insouciants, pleins de rêves. On entrait en boîte comme on entrait dans un autre monde, où la musique devenait la seule langue qu’on avait besoin de parler.

Un slow, un flirt timide, des regards volés dans la fumée des spots colorés… ou au contraire des déferlantes de funk, de disco ou de rock qui nous faisaient danser jusqu’à perdre la notion du temps.

Les années 70, 80, 90… c’était l’époque de nos jeunesses, des vinyles qu’on usait, des K7 qu’on rembobinait avec un stylo Bic, des posters de nos idoles punaisés aux murs. Chaque chanson avait un parfum, une odeur de liberté, un goût de premier baiser.

Dans cette rubrique, je partagerai ces morceaux qui ont bercé notre histoire. Parce que la musique est la meilleure machine à remonter le temps : elle nous rend nos 20 ans, nos nuits blanches, et nos étés sans fin.





Pet Shop Boys – West End Girls (1984)

 

Au milieu des années 80, la musique changeait de visage. Les synthés prenaient le pouvoir, les boîtes à rythmes donnaient le tempo, et la new wave habillait nos nuits d’une aura mystérieuse. C’était moderne, différent, hypnotique.

 

West End Girls résonnait comme un ovni. Une voix grave, presque parlée, posée sur une ligne de basse obsédante. On avait l’impression de marcher dans une grande ville, de se perdre dans ses lumières, de chercher quelque chose sans savoir quoi.

 

Dans les boîtes de nuit, ce morceau créait une ambiance particulière. Après les tubes disco éclatants, il arrivait comme une parenthèse plus sombre, plus chic, presque cinématographique. Sous la boule à facettes, on dansait moins pour séduire que pour se laisser porter par ce rythme étrange, urbain, envoûtant.

 

Pour beaucoup, ce fut une révélation : la musique pouvait être autre chose qu’un simple défouloir. Elle pouvait raconter l’époque, les rêves et les contradictions d’une jeunesse en quête de liberté.

 

Aujourd’hui encore, quand West End Girls passe, les souvenirs affluent : les nuits électrisées, les jeans délavés, les coupes de cheveux improbables, et cette impression que le monde s’ouvrait devant nous. C’était l’époque où chaque chanson était un passeport pour un autre univers.

 

Pet Shop Boys n’ont pas seulement marqué les charts : ils ont donné une bande-son à nos 17 ans, à nos errances, à nos désirs naissants. Et West End Girls reste, à jamais, l’hymne de ces nuits où l’on croyait que tout était possible.

 


vendredi 29 août 2025

Jakie Quartz - Mise au point

 




🎶 Le morceau de Zik Nostalgie


Il y avait les nuits où tout semblait possible…
La boule à facettes tournait, projetant ses éclats argentés sur des visages jeunes, insouciants, pleins de rêves. On entrait en boîte comme on entrait dans un autre monde, où la musique devenait la seule langue qu’on avait besoin de parler.

Un slow, un flirt timide, des regards volés dans la fumée des spots colorés… ou au contraire des déferlantes de funk, de disco ou de rock qui nous faisaient danser jusqu’à perdre la notion du temps.

Les années 70, 80, 90… c’était l’époque de nos jeunesses, des vinyles qu’on usait, des K7 qu’on rembobinait avec un stylo Bic, des posters de nos idoles punaisés aux murs. Chaque chanson avait un parfum, une odeur de liberté, un goût de premier baiser.

Dans cette rubrique, je partagerai ces morceaux qui ont bercé notre histoire. Parce que la musique est la meilleure machine à remonter le temps : elle nous rend nos 20 ans, nos nuits blanches, et nos étés sans fin.





Un mélange de new wave, d’énergie électro et d’émotion brute. Tout le monde connaissait les paroles, tout le monde les chantait à pleins poumons. Les couples se rapprochaient, d’autres dansaient seuls, hypnotisés par la voix de Jackie Quartz. C’était un morceau qui parlait d’amour, de rupture, de vérité, mais surtout… de nous.

 

Cette chanson est devenue un hymne des nuits 80, entre espoir et désillusion, entre danse et confidences. Elle nous rappelle ces instants où la vie semblait nous appartenir, où l’on croyait que chaque nuit pouvait changer le cours de notre histoire.

 

Aujourd’hui encore, quand Juste une mise au point passe à la radio ou sur une playlist, elle nous ramène instantanément sous la boule à facettes. Les rires, les regards, la musique trop forte, et cette sensation unique : vivre sa jeunesse à fond.