La solitude, c’est ce foutu miroir
Qu’on évite trop souvent de regarder.
Un chemin
tordu, exigeant, parfois génial, parfois brutal.
Certains
s’y perdent, d’autres s’y trouvent, enfin vraiment.
C’est là qu’on découvre nos vérités crues,
Nos mensonges bien polis,
Nos foutaises qu’on
croyait éternelles.
Sur ce
chemin, t’as deux choix :
te rencontrer toi-même, ou fuir encore
Un peu plus loin dans le brouillard.
Mais si tu tiens bon, au bout, y a peut-être
Un truc qu’on appelle
"accomplissement".
Pas la gloire, pas les médailles
Juste cette paix minuscule mais réelle :
Savoir qui
tu es.
Et quand
t’en arrives là, tu peux enfin rencontrer l’autre.
Ou au
contraire, ne plus vouloir croiser personne.
Parce que t’as pigé que le silence, parfois,
Vaut toutes les conversations du monde.
Mais faut
faire gaffe à la dose, oui.
Trop de
solitude, ça te ronge.
Pas
assez, ça t’étouffe.
Comme tout dans cette foutue vie :
Une question d’équilibre.
Une simple réflexion partagée,
© copyright Ours du Forez
Octobre 2025
%20(1)%20(1)%20(1)%20(1).png)
