Recueil de mes textes, de mon anciens Blog
Les
Hommes, les vrais, ils regardent, observent,
Agissent
ou s’éloignent en silence et sans drame
Ils
gardent les pieds sur terre
Mais ils ont les yeux
Dès la
nuit tombée, dans les étoiles
Rêvez ne
fait pas de mal, cela apaise
Ils sont
des hommes, peut être des prédateurs
Des
loups, mais comme les loups
Ils sont les compagnons
D’une
femme, d’une Louve pour une vie
Mais
quelle Femme !!!
Quelle
Femelle elle devra être
On ne
peut pas aimer toutes les femmes
Seule,
certaine sont Unique, l’Exception
Celle
dont le regard vous améliore.
Celle
pour qui vous avez envie de conquérir
Le monde
pour elle, offrir votre vie
Celle qui
vous rend si fort, invincible
Celle qui
vous améliore, vous façonne
Calme en
vous les tempêtes
Puis il y
a les autres, le tout venant
Sorte de
produit LIDR bas de gamme
Oui les
autres ne sont que de pâles copies
Aucun
intérêt, aucun désir
Alors mieux
vaut encore la solitude
La
lecture d’un bon livre, seul accompagné d’un
Bon
morceau de jazz, d’un verre de bourbon
Peinard
dans son antre avec
La
compagnie, oui d’un bon toutou et de ses chats
Je ne
comprendrais jamais les Mecs, qui par peur de
La
solitude se jette sur n’importe quelle femme où
D’une ex
qu’ils ont pourtant délaissé, et passe
D’une
femme à une autre, franchement aucun intérêt
Sauf peut
être quand on est Jeune
© copyright Ours du Forez
Nous
vivons tant de vies, avant de vivre la nôtre.
Avant de
nous donner le droit, de vivre la nôtre.
Cessons
d'attendre de l'extérieur,
Ce qui ne
peut être que l'effet d'une métamorphose intérieure...
(Catherine
Bensaïd - psychanalyste)