mardi 22 avril 2025

De nos jours, les gens ne défendent pas ce qui est Juste

 




Échos d’une citation





De nos jours, les gens ne défendent pas ce qui est juste, 

ils défendent là où leur intérêt se situe de plus  

ils sont d’une aigreur sincèrement 

Je n’aurais même pas envie de me battre pour les sauver

 

 

Dans nos moments les plus sombres, nous n'avons pas besoin de solutions ni de conseils. Ce dont nous avons profondément besoin, c'est simplement d'une connexion humaine : une présence silencieuse, une douce caresse. Ces petits gestes sont les ancres qui nous maintiennent stables lorsque la vie nous semble insurmontable.

 

S'il te plaît, n'essaie pas de me réparer. Ne prends pas ma douleur comme la tienne, et ne repousse pas mes ombres. Assieds-toi simplement à côté de moi pendant que je traverse mes propres tempêtes intérieures. Sois la main stable que je peux saisir pendant que je trouve mon chemin.

 

Ma douleur est à moi de la porter, mes batailles sont à moi de les mener. Mais ta présence me rappelle que je ne suis pas seul dans ce monde vaste et parfois effrayant. C'est un rappel silencieux que je suis digne d'amour, même lorsque je me sens brisée.

 

Alors, dans ces heures sombres où je me perds, seras-tu là ? Non pas comme un sauveur, mais comme un compagnon. Tiens ma main jusqu'à ce que l'aube arrive, en m'aidant à me souvenir de ma force.

 

Ton soutien silencieux est le cadeau le plus précieux que tu puisses me faire. C'est un amour qui m'aide à me souvenir de qui je suis, même lorsque je l'oublie.

 

Ernest Hemingway



Échos d’une citation : Quand la présence vaut plus que mille mots

Nouvelle Rubrique 


Il y a des mots qui tombent dans nos vies comme une pluie douce sur une terre assoiffée. Cette citation attribuée à Ernest Hemingway m’a touché profondément :

 

"Dans nos moments les plus sombres, nous n'avons pas besoin de solutions ni de conseils. Ce dont nous avons profondément besoin, c'est simplement d'une connexion humaine : une présence silencieuse, une douce caresse. Ces petits gestes sont les ancres qui nous maintiennent stables lorsque la vie nous semble insurmontable..."

 

Face à cela, je ressens un écho intime. Dans un monde où l’on cherche toujours à réparer, à expliquer, à conseiller, il est bouleversant de se rappeler qu’un simple geste de présence peut être mille fois plus salvateur. Pas de mots. Pas de solutions. Juste un être humain qui reste là, sans peur de nos ombres.

 

Nous vivons une époque où la tendresse semble presque subversive. L’écoute sans attente, l’amour sans condition, la bienveillance sans agenda deviennent rares. Beaucoup ne défendent plus ce qui est juste : ils défendent leur confort, leurs intérêts. Et dans ce vacarme d’égos froissés, de jugements tranchants et d’indifférence programmée, il devient épuisant de vouloir encore croire en la bonté.

 

Parfois, j’avoue, je rêve de silence. De recul. D’un désert, au sens noble. Loin de la bêtise tapageuse, des injonctions sociales, de cette humanité parfois si cruelle et désenchantée. Non pas fuir par lâcheté, mais par survie. Pour préserver ce qu’il reste de tendresse en moi. Pour ne pas devenir moi aussi un cœur fermé.

 

Alors cette citation est pour moi un rappel précieux. Une main tendue dans l’obscurité. Un souffle d’espoir. Non, je ne veux pas qu’on me répare. Je veux qu’on me regarde sans peur, qu’on m’accompagne sans vouloir me changer. Et je veux être cela pour ceux que j’aime : une présence, humble et sincère, dans leurs tempêtes.


Une simple réflexion partagée, signé Ours du Forez

Soyez sélectif dans vos combats.

Parfois, il vaut mieux avoir la paix qu'avoir raison.